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[pustulapoil]

PAS R�CENT... MAIS TOUJOURS D'ACTUALIT�. LE GOUVERNEMENT DU QU�BEC VERSE CHAQUE ANN�E 36 MILLIONS DE DOLLARS DE VOS TAXES � L'INDUSTRIE DES "REFUGES POUR FEMMES"... DONT 75% DES OCCUPANTES NE SONT PAS DES VICTIMES DE VIOLENCES, MAIS DES PAUM�ES, DE PETITES CRIMINELLES, DES TOXICOMANES, ET M�ME... DES FEMMES VIOLENTES. POUR LA SEULE R�GION DE MONTR�AL, CES ORGANISMES QUI FONCTIONNENT � LA LIMITE DE LA L�GALIT� (L'INCITATION � PORTER DE FAUSSES ACCUSATIONS EST UN D�LIT) EMPOCHENT 19.2 MILLONS DE DOLLARS ANNUELLEMENT.

Marion Winters

Le 05 mars 2000

Au moment d��crire ces mots, j�ai conscience que mes propos vont probablement offenser certains lecteurs mais, en mon �me et conscience, j�ai r�alis� que si nous n�avons pas le courage d�accepter certaines v�rit�s d�rangeantes, nous devons en prendre tout le bl�me. En cons�quence, il est hors de question de m�excuser pour ce que j�ai � dire. J�esp�re plut�t tenter de redresser les torts occasionn�s par mes gestes.

En guise d�introduction, voici quelques d�tails me concernant. Avant mon mariage, j��tais une f�ministe extr�miste, nourrie d�espoirs et des r�ves d��galit�, partageant avec d�autres les pens�es et croyances d�une lutte men�e en vue d�obtenir une r�elle �galit�. Notre qu�te diff�rait de celle qui anime les f�ministes contemporaines, motiv�es qu�elles sont par la prise de contr�le int�gral, de pouvoir et de vengeance, et d�truisant au passage la totalit� des acquis obtenus de chaudes luttes par les f�ministes r�elles (l��galit� r�elle, sans �gard au genre). Mon souhait le plus sinc�re en communiquant mon histoire et mes commentaires, c�est d�encourager d�autres femmes (nous savons/vous savez qui vous �tes), � prendre la parole et t�moigner de leurs histoires et leurs exp�riences. Voici donc mon histoire, aussi honteuse qu�elle puisse �tre.

Je suis une m�re c�libataire avec deux enfants. Lorsque j�ai pris la d�cision de rompre les liens du mariage ( par ennui), j�ai consult� trois avocats diff�rents dans le but de me renseigner. Ils m�ont tous trois pos� la m�me question concernant d��ventuels abus entre les mains de mon mari. Ma r�ponse fut que jamais, et d�aucune mani�re ce soit, mon conjoint n�avait abus� de moi. � ma grande stup�faction, leurs r�actions furent unanimes. � moins d�accuser mon conjoint d�abus, jamais je n�obtiendrais la garde exclusive de mes enfants. Ils m�ont �galement racont� comment ces all�gations d�pos�es contre mon conjoint allait suffire pour m�approprier la TOTALIT� de ses biens et encore davantage. Lorsque je m�inqui�tais � savoir comment prouver ces all�gations, je me suis fait simplement r�pondre que les preuves n��taient pas requises � la cour, et qu�il suffisait de me rendre � un centre de crise pour femmes, que j�allais y obtenir tout le support n�cessaire � l�appui dans mon histoire de mauvais traitements.

Issue d�une famille o� les valeurs religieuses �taient de rigueur, j��tais tr�s mal � l�aise avec ces conseils. Ensuite, les avocats m�ont avis� que pour b�n�ficier pleinement de l�aide juridique, je n�avais pas d�autre option que de d�poser des all�gations d�abus contre mon mari. D�pourvue des ressources mon�taires suffisantes pour assumer les honoraires professionnels des avocats, j�ai suivi leurs conseils. De reculons, j�ai emmen� les enfants au centre de crise. Je ne pouvais pas croire ce que je voyais. De l�ext�rieur, tout semble correspondre � l�image projet�e aupr�s des bailleurs de fonds. Cependant, rien n�est plus �loign� de la v�rit�.

Cet endroit pourrait �tre assimil� � un lieu de culte, � d�faut d�un meilleur terme. D�nigrer les hommes y �tait une priorit� et la direction de l��tablissement semblait tr�s enthousiaste � l�id�e de recruter une autre femme pour joindre les rangs de celles qui les d�testent. Elles disposaient m�me d�un sc�nario infaillible pour gagner � la cour. En suivant le mode d�emploi sugg�r�, je m�assurais de remporter non seulement la garde exclusive des enfants mais aussi l�automobile, la maison, la terre et des ressources financi�res pour vivre confortablement jusqu�� la fin de mes jours.

Par contre, ne pas suivre leur sc�nario et jouer honn�tement le jeu me conduirait non seulement � tout perdre, mais en plus, je risquais de mettre en danger la vie d�autres femmes et compromettre leurs campagnes de lev�e de fonds. L�administration a probablement r�alis� que leurs techniques de lavage de cerveau ne fonctionnaient pas au rythme escompt� ce qui me valut d��tre �achemin�e� aupr�s des autres femmes h�berg�es sur place.

Des termes comme �donneurs de sperme� et �tous les hommes sont des abuseurs qui devraient �tre �limin�s� �taient martel�s quotidiennement. Elles �taient tr�s persuasives. Ne voulant pas aggraver le sort des femmes h�berg�es, j�ai d�cid� de suivre leur plan.

D�s que ma d�cision de suivre leur plan fut connue, les �v�nements se sont pr�cipit�s. J�ai vu I�homme avec qui j�avais �t� mari� �tre d�truit tant sur le plan �motionnel, financier que physique. J�ai obtenu la garde exclusive des enfants et, avec l�ordonnance de non communication, obtenu �galement la maison et l�automobile de mani�re � pr�server le rythme de vie habituel des enfants.

Non seulement ai-je obtenu une ordonnance de non communication � son endroit mais il fut �galement reconnu coupable de voie de fait. L�homme qui avait particip� activement � la cr�ation de nos enfants, � leur entretien et qui les aimaient tendrement, �tait par la loi maintenu � bonne distance d�eux et tenu de me verser ( davantage que j�en avais besoin) une pension pour leur entretien. Tel que je l�ai mentionn�, je l�ai d�truit, ne lui laissant que des miettes pour survivre.

Mon fr�re traverse actuellement une histoire similaire de divorce acrimonieux au cours de laquelle ma belle-s�ur utilise exactement la m�me tactique enseign�e au centre de crise et mon fr�re subit un sort identique � mon ex.

Compte tenu de la mani�re employ�e pour d�truire mon ex, et consid�rant tout le mal que je lui ai fait subir, j�ai pris l�engagement personnel de venir en aide � mon fr�re dans sa lutte. Il s�est r�cemment joint � un groupe d�homme qui l�alimente en messages diffus�s sur le net concernant la garde partag�e, les fils de presse diffus�s par EPOC etc.

Ayant �t� expuls� de son domicile, il cohabite pr�sentement avec moi, ce qui me donne l�opportunit� de lire les messages diffus�s au sein de ces groupes. Je dois avouer qu�� part un message ou deux qui sont d�un grand secours, il est grandement temps que ces groupes arr�tent de jouer les �bons gar�ons�.

En toute honn�tet�, vous ne pourrez jamais para�tre plus d�savantag� que l�image de vous v�hicul�e par les f�ministes. Soyons honn�tes, depuis nombres d�ann�es, le mouvement des hommes a, au mieux, pi�tin� � la m�me place. Vous avez sign� des p�titions, manifest�, organis� des campagnes au moyen de fax, de t�l�phones, courriels, vendu des chandails, des casquettes et des auto-collants, sans obtenir le moindre r�sultat. Et vous continuez de poursuivre dans la m�me lanc�e, dans l�espoir que survienne un changement.

Les m�dias, les autorit�s judiciaires, les m�decins, les avocats, le S�nat, le gouvernement, les juges, les chercheurs ainsi que la majorit� du public sont conscients du sort peu enviable r�serv� aux hommes et aux p�res, pourtant rien ne bouge.

� mon humble avis, le changement ne pourra survenir que si on provoque les choses. Je ne poss�de pas la cl� du succ�s mais l�inutilit� de vos mani�res de proc�der jusqu�� pr�sent m�appara�t de plus en plus �vident. Pourquoi alors ne pas tirer profit des le�ons de l�histoire et analyser la mani�re dont les choses ont �volu�e dans le pass�, tant pour les hommes que pour les femmes.

J�ai aussi remarqu� la pr�sence d�interminables �changes dans les groupes de discussion sur le net, o� tout le monde semble avoir une opinion sur tout. Pourquoi ne serions-nous pas dispos� � agir de mani�re concr�te au lieu de r�-�crire inlassablement autour des m�me sujets, en clair, canaliser nos �nergies pour accomplir des actions importantes. Combien faudra-t-il encore de statistiques, de rapports, de discussions, de d�bats et d�opinions avant de dire " assez c�est assez"?

Que faudra-t-il faire pour vous motiver, vous les hommes, � prendre action pour obtenir les changements n�cessaires en vue d�obtenir une �quit� r�elle, sans �gard au genre? Apr�s en avoir tant dit, j�aimerais ajouter une couple de choses qui me semblent importantes. Les vrais f�ministes croient en l��galit� sans �gard au genre, et pr�che de tout c�ur en faveur de l�int�r�t sup�rieur des enfants. Nous ne voulons pas d�truire ou restreindre les droits constitutionnels de personne. Je connais des vrais f�ministes tels Erin Pizzey et la S�natrice Ann C. Cools qui luttent pour l�av�nement d�une r�elle �galit�, sans �gard au genre.

Nous devons contrecarrer les f�ministes radicales qui n�ont pas l�air de comprendre que leurs gains d�aujourd�hui m�nent � notre destruction future. Elles ne voient qu�une seule chose, le besoin de TOUT s�accaparer pour elles-m�me, sans �gard au co�t.

Je vous encourage � raconter la v�rit� dans ce que vous avez v�cu car, apr�s cet exercice, j�ai le sentiment maintenant de participer de plein pied � la lutte menant � l�av�nement d�une �galit� r�elle, sans �gard au genre.

Solidaire dans votre combat,

Marion Winters
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On my way out...

[Yan]

Bel essait au ratrapage, mais elle m�rite quand m�me un upercut muscl� dans les ovaires.

[al-zeimer]

la chapelle f�ministe dans sa guerre contre les d�terminismes biologiques masculin et feminin, dont l'ensemble de leur oeuvres n'est pas de faire avancer la femme, mais bien de r�primer la mascunilit� en soi.

le r�sultat du f�minisme au quebec
-74200 naissances en 2004 au quebec
-championnat du suicide chez les hommes,
-championnat du d�crochage scolaire chez les hommes.

dernierement une femme c�libataire (tres jolie) d�but trentaine m'a dit les males matures vraiment males sont d'une raret� d�concertantes au quebec.

je lui ai r�pondu depuis les ann�es 70 on essaie de reprimer se que sont les hommes a un moment donn� le resultat fini par arriver.
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I'M FREE!!!

[pustulapoil]

Je ne crois pas utile n�cessairement de jeter la pierre � la dame: il y'a des moments dans la vie ou les �motions et l'angoisse de l'avernir peuvent fair perdre les p�dales aux gens... le probl�me, c'est le syst�me financ� par nos imp�ts qui encourage de tels d�rapages jusqu'au sein de l'institution judiciaire.
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On my way out...

[kat]

La loi sur la s�paration de biens �mane de dol�ances f�ministes. C'est la Marois �a... et elle est f�ministe.
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"Contredire et bavarder sans r�pit, c'est se montrer naturellement incapable d'apprendre ce qu'il faut.
(D�mocrite / vers 460-370 avant JC)

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